Budget 2025 : L’EPF Ile-de-France prêt à accompagner la reprise

Faits marquants de l’année 2024 :

• Le budget 2024 devrait être exécuté à 100% en recettes comme en dépenses
• La part de la transformation immobilière continue, comme en 2023, de représenter un tiers des interventions
• Le fonds SRU a été fortement mobilisé au-delà des prévisions : 20 M€

S’il est trop tôt pour constater une reprise réelle du secteur, deux indicateurs propres à l’activité de l’EPF Ile-de-France permettent d’anticiper un relèvement progressif de l’activité sur toute l’Ile-de-France :

• Les promesses de ventes foncières ne fléchissent pas, et permettent d’envisager un volume de cessions et donc de recettes en croissance dès l’année prochaine
• Les engagements d’investissement auprès des collectivités partenaires ont conservé une progression constante (490 M€ en 2024)

Chiffres clés Budget initial 2025 :

Le Conseil d’Administration a adopté un budget en croissance:

• Recettes : 624.9 M€ (vs 577.6 M€ en 2024) dont 65.88% de recettes opérationnelles (2025 : 415 M€ vs 380 M€ en 2024)

• Dépenses : 612.9 M€ (vs 574.5 M€ en 2024) dont 86.8% d’acquisitions foncières (2025 : 532 M€ vs 2024 : 510 M€)

La structure financière de l’établissement reste solide avec un endettement faible (18% du stock foncier). Les frais de structure restent stables.

Pour Jean-Philippe Dugoin-Clément, Président du Conseil d’administration :
« L’ensemble des membres du Conseil d’administration souhaitent que l’EPF Ile-de-France soit en mesure le moment venu de permettre une accélération de la reprise, par une mobilisation de nos réserves foncières disponibles. Nous mobilisons dès à présent des ressources budgétaires supplémentaires en soutien au marché du logement et au service des projets des collectivités locales. ».

Pour Gilles Bouvelot, Directeur général de l’EPF Ile-de-France :
« Grâce aux équipes de l’établissement, nous avons pu soutenir l’activité en période de contraction du marché, nous sommes désormais prêts à accompagner la reprise en passant d’un rôle contracyclique à un rôle procyclique à l’heure où les opérateurs ont besoin de reconstituer leur offre pour éviter la remontée des prix. ».